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scénario de Céka, dessins de B. Blasco-Martinez

Editions Delcourt
Couverture de Nicolas Siner
1888. Londres. Un mystérieux assassin s’attaque aux prostituées de Whitechapel, dont les corps sont retrouvés atrocement mutilés. Malgré des centaines d’interpellations, Scotland Yard échoue à arrêter celui qui va devenir le plus emblématique des tueurs en série. Un châle maculé de traces ADN révèle, plus d’un siècle après l’affaire, l’identité du fameux Jack l’Éventreur…

Après une première vie dans la publicité, Céka décide il y a 15 ans de retourner à sa passion de jeunesse : la BD. Aujourd’hui, il a à son actif près de 70 albums chez une dizaine d’éditeurs différents et a été nominé en 2011 à Angoulême pour son album « Lutte Majeure ».
« J’ai longtemps couru après la Bande Dessinée, comme on court après une jolie jeune fille, un amour de jeunesse. Car, il faut l’avouer, au début, notre histoire a été un peu compliquée… Faite de rencontres ratées !
Pourtant, avec un 20 sur 20 à mon Bac B en dessin et la réussite du concours d’entrée de l’École des Beaux-Arts d’Angoulême, on aurait pu croire que l’affaire était pliée, mais non, la vie en a décidé autrement ! Que voulez-vous, j’ai toujours préféré les virages aux lignes droites…
Diplôme de communication en poche, je suis allé voir sa copine, la publicité. OK, je sais, cette incartade est limite correct. Mea culpa, mea culpa…
Mais, à posteriori, bien m’en a pris… Créatif côté mots, j’ai appris à débrider mon imagination et ma créativité, à manier le verbe et dompter les mots. J’ai aussi appris à travailler en binôme avec mon alter ego des images, le Directeur Artistique.
En fait, sans le savoir, j’étais en train de faire mes armes pour mon futur métier de scénariste BD. Et, après une quinzaine d’années passées dans la publicité, j’ai enfin dit « oui » à ma passion de jeunesse : le scénario BD !
Depuis, je partage mon temps entre l’Edition, la Presse et les Interventions BD. Ma passion et moi, nous filons le parfait amour… Bon, c’est vrai, ce n’est pas toujours rose, la BD étant une passion exigeante. Mais que voulez-vous, comme je le disais, j’ai toujours préféré les virages aux lignes droites.
Et puis, avouons-le : que serait la vie sans passion ? »

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